accompagné de percussionistes (Avi – djembe & Abdoulaye – dumdun)
Oumar OUATTARA est initié en Côte d’Ivoire, où il débute avec la Cie Kora et Sidibé Mousa. Il collabore ensuite avec Merlin Nyakam, Georges Momboye, Alphonse Tierou et pour le film «Roue libre». Son travail est axé sur la précision des pas et mouvements dansés pour approfondir le sens du tempo.
Dimanche 8 mars 2015 9h30-12h30
Chiara MARTINOLI – Afro-contemporain
Accompagné de Daouda Diabaté & Mbady Diabaté au dumdun, kora & balafon
Chiara MARTINOLI est formée au danses traditionnelles du Bénin (Yoruba) , manding, contemporaines et par la formation aux danses pluridisciplinaires africaines du Centre « Georges Momboye ». Elle collabore avec Vincent Harisdo, Lamine Keita, Achille Monbohi & Pierre Doussain. Son travail est axé sur la respiration et l’amplitude du mouvement qui s’en essouffle. S’inspirer des pas traditionnels, pour créer sa danse. Kora, balafon, dumdun sont les maîtres musicaux.
SAMEDI 18 AVRIL – 15h 18h
Ousseni SAKO – Burkina Faso
Accompagné de kora et percussionnistes avec Mbady Diabaté & Avi
Ousseni SAKO est initié au Burkina Faso. Il collabore auprès d’Alphonse Tierou, Irène Tassembedo, Mathilde Monnier pour intégrer par la suite la compagnie « Salia Ni Seydou ». Sa fine sensibilité, son énergie fluide et agile vous amènera à sentir la profondeur du mouvement initié.
QUELQUES COMMODITES:
TARIFS:
30 €/ stage + 4€ adhésion // Réduit: 25 €/stage
– 20 % pour toute inscription aux 3 stages avant le 10 janvier – réglement en 3 fois possibles avec arrhes
Pour tout connaître sur la légende de la kora et de son incroyable création par la fameuse femme génie, nous vous invitons à cliquer sur le lien suivant:
Créé en 2017 par Traid’Union France, la compagnie « Sabou » anime les événements et manifestations de rue et de scène pour vous faire vivre la joie tout azimut.
Sur des rythmes traditionnels du Manding (Afrique de l’Ouest), « Sabou » se fera un plaisir d’accompagner vos moments festifs ou de mettre en scène des scénarios dansés et joués pour vous initier aux rôles de la musique et de la danse dans les sociétés d’Afrique.
En 2017, « Sabou » participe à la « F(ai)ête de la danse » organisé par les Ballet de Monaco sur la place du Casino de Monte Carlo.
Créé en 2013 par Lamine Camara, la compagnie artistique « Fatala » diffuse et crée des créations artistiques en danses et musiques traditionnelles et modernes de Guinée. Regroupant des jeunes des quartiers de Conakry, elle a pour finalité de les éduquer par des artistes expérimentés. Son autre ambition sera d’éduquer aux lettres ces mêmes jeunes bien souvent ayant quittés très tôt les bancs de l’école pour n’avoir pour la majorité d’entre eux trouvés un avenir à l’école.
A son actif, la compagnie a participé aux manifestations suivantes :
2014 : « Carnaval de Conakry » avec tous les groupes de la commune de Matoto (Conakry) ;
2016 : Tournée de théâtre forum « Mieux vaut prévenir que guérir » organisé par l’entreprise physique « Traid’Union Guinée » (dirigé par Maude Ferré Diabaté) et financé par les ONG « Action contre la faim » & « Concern Universal ». Objectif : sensibilisation grand public sur les gestes à adopter en cas de symptômes de maladies infectieuses dans 34 sous-préfectures & districts de la préfecture de Forécariah.
Sa danse se caractérise par sa fluidité et sa puissante énergie, rythmé par le souffle, tout en préservant un respect corporel remarquable.
Il enseigne les danses traditionnelles, contemporaines & tradi-modernes de Guinée
Originaire de Boffa (Région de la Basse côte en Guinée), Lamine Camara dit « Malé Swê » évolue en tant que danseur professionnel en contemporain, traditionnel & tradi-moderne depuis 2006 aussi bien dans les groupes de danses traditionnelles qu’auprès d’artistes reconnus sur la scène internationale.
Références:
2006 – 2017 : Danseur au sein de la troupe « Sembe »;
depuis 2013 : Directeur artistique et chorégraphe danseur « Fatala »;
2013 – « Lhomme et son désir' » et « Et Dieu créa la femme » 1ère création en danse contemporaine en Guinée avec Georges Momboye (CCFG).
Sa recherche chorégraphique est non seulement d’adapter les mouvements issus de la tradition aux sonorités et musique actuelles, mais aussi de développer une nouvelle danse contemporaine africaine pour en exprimer le quotidien.
Pour cela, il puise son inspiration dans l’histoire de l’origine des rythmes et des danses véhiculés depuis des générations en Guinée. A quel moment, pour quelles occasions danse-t-on « Yankadi », « Dunumba », « Sorsornet », « Zaouli », « Fulé Faré » ? Pourquoi la statue « Nimba » a-t-elle été créé ? Quand voit-on les masques tels que celui de « Zaouli » ?
En 2016, sur une proposition de Maude Lamban, il crée et met en scène le conte dansé « La Guinè Namougni – un mariage de cultures » retraçant ainsi l’histoire de certaines danses et rythmes de Guinée qui sont mis en scène en fonction des initiations et cérémonies auxquelles ils étaient destinés. Le conte est brodé autour de la rencontre de deux jeunes gens issus de cultures guinéennes différentes : le métissage de leur alliance sera-t-il accepté par leurs communautés respectives ? Si oui dans quelles mesures?
En 2019, toujours en collaboration avec Maude, ils créent ensemble « Quand la danse mandingue parle…à Nimba », conté dansé mettant en scène des légendes mandingues, telles que « La femme génie de la grotte de Kassala à l’origine de la Kora », « Ballafasaké, le 1er griot et joueur de balafon (sosso bala) », « Dimba ou la Fertilité éternelle », « Dianké Wali, le Roi de la fin de toute guerre ». En mariant la transversalité des disciplines – danse, chant, musique, conte, ces mises en scène valorisent la place de l’Art dans les sociétés humaines, vecteur de communication universelle à travers les temps.
De 2020 à 2024, Malé est acteur pour des pièces de théâtre franco-guinéenne avec le studio Keira lors du festival « L »univers des mots ». Il travaillera sur les texte de Sandrine Roche (Compagnie Perspectives).