Thérèse dit « Maaté » Keita est une artiste avérée et complète. Son père spirituel, l’ ex-Directeur artistique de l’Ensemble des « Koteba » d’Abidjan, Souleymane Koly, l’a fait grandir et murir à travers ces disciplines artistiques pendant 33 ans. Les Go de Kotéba révéla Maaté en tant qu’artiste pluridisciplinaire (chant, danse, musique). Son dernier titre « Baba Solo », produit en 2015 auprès du label « Tinkisso Record' » (Guinée Conakry) rend hommage au Feu Souleymane Koly.
Mais ce qui caractérise Maaté n’est pas tant son professionalisme que sa quête de véhiculer de l’émotion et de la partager au prix d’une humanité toujours plus grande.
« C’était tellement émouvant de voir tous ces visages rayonnants » Fatima NAJJAR – Coordinatrice « Concern Universal » Guinée
Le théâtre forum « Mieux Vaut Prévenir Que Guérir »a eu pour finalité d’expliquer aux populations reculées de Forécariah comment se prévenir pour éviter les maladies contagieuses à risques épidémiques telles que le choléra, la fièvre typhoïde, le virus Ebola, …..78 artistes, 34 dates, près de 20.000 personnes sensibilisées – du 22 mai au 05 juin 2016.
Une joie incroyable! Merci aux artistes:
– la troupe « Fatala » & Lamine Malé Camara,
– « Les Aigles du Manding »,
– « Association Uni Art Culture » & Lamine Diabaté,
– Maaté Keita,
– les formidables tourneurs Souleymane Dioumessy et Lama Diallo dit « Lama Reggae »
– USAID & toute l’équipe de Concern Universal – ACF.
– AC Décor & Abdoulaye Conde pour les 204 banderoles en 3 semaines……
dans un village reculé de Guinée, deux villageoises voient leur maris partir aux champs et à la chasse sans moyens de précaution. De retour à la maison, les hommes vomissent et ont une diarrhée sévère…….que faire?
Scénario danse:
dans un village reculé de Guinée, un jeune homme courtise deux jeunes femmes. Mais il tombe malade et les deux jeunes filles se retrouvent elles aussi contaminées. Face à cette situation, le chef de leur village intervient sur les mesures d’hygiènes et de propreté à adopter pour vivre dans un environnement sain et serein.
L e Kampony Club est un groupe de jeunes musiciens guinéens basé à Conakry. Il tire son nom du village de Kampony situé au nord-ouest du pays, berceau d’une partie de la famille Kouyaté dont le talent est reconnu depuis des siècles par delà les frontières du pays.
Composé de Karamba, Bambo, Dembo, Bouba, Guèmè & Rasta, tous KOUYATé, ces éminents artistes conteurs et poètes, descendants d’une des plus anciennes lignées de griots, se produisent régulièrement sur les scènes du monde entier, que ce soit en Afrique, en Europe, en Asie, en Amérique du Nord et du Sud. Parmi les grandes figures que ce village a vu naître, on pourra citer notamment Feu Elaj Mamadou Benté Kouyaté, Moh Kouyaté, Adama Kouyaté, plus récemment Petit Kandia.
Le jeune Kampony Club s’exprime lui par un exquis mélange d’instruments traditionnels et modernes.Il se plait en effet à mêler balafon et batterie, guitare acoustique et électrique, guitare basse et calebasse, djembé et clavier, ngoni et shaker brésilien… et tout autre instrument qui lui passe sous la main ! (le ngoni est une forme de luth traditionnel ayant jusqu’à huit cordes) Le chant est assuré dans diverses langues nationales guinéennes, telles que le diakhanké, le soussou, le malinké et le peulh. Depuis quelques mois, Pierre Pinat, français rebaptisé Guèmè Kouyaté, amoureux de l’Afrique de l’ouest et de ses cultures, les a rejoint avec son shaker et participe à ce projet musical en apportant aux chants une touche de français, d’anglais et d’espagnol.
LeGros Killah Mic, vous le connaissez ? En Occident & en Orient, certainement pas, en Afrique, p’être bien, en Guinée, bien sûr que oui avec les « Black Never Die » qui sont « Still Alive » mais sans LKM, pour son nom de scène!
– en voiture :par l’autoroute du Sud jusqu’à Lyon puis l’A8 prendre ensuite direction le plateau de Valensol par Sisteron et Digne les Bains
– en train: par la SNCF depuis la Gare de Lyon jusqu’à Digne les Bains (c’est un bus de la SNCF entre Aix en Provence et Digne les Bains) puis le Chemin de Fer de Provence jusqu’à Annot
« Mais c’est une pure invention venant d’occident, encore ça! » « Ca n’existe pas » « Dans 60 jours, c’est bientôt fini! «
« Lavez-vous les mains au savon » « Soyez propre »
« Mais pourquoi ne voit-on plus nos proches malades une fois entrés dans un Centre de Traitement pour Ebola, même pas ses vêtements?! »
Un extrait?
D’où vient Ebola? Comment est-il arrivé à semer la pagaye parmi les hommes, leurs cultures, leurs croyances et leurs rituels? Comment a-t-il réussi à mettre en péril des pays à économies déjà si précaires sans lui?
Selon le scénario original d’Oumar Manet, « Le Procès d’Ebola » personnifie le virus, lors de sa mise aux assisses: tant bien que mal, il essaie d’expliquer en quoi « son business » est bénéfique pour la république de Guinée; mais sans avocat et devant des milliers de victimes, son plaidoyer est dur à être entendu en toute impunité…..
Orchestrés par les musiciens de l’association « Kora Folla » & le groupe « Les Aigles du Mandingue », la troupe nationale « Benso Sodia » joue la comédie en compagnie de « Lafsi danse »
Ce projet socio-éducatif, culturel & solidaire a pour objectif de sensibiliser les populations vulnérables et exposées à la fièvre hémorragique à virus Ebola, des quartiers de Conakry (Ratoma, Matoto, Matam).
Dans la Haute-Antiquité, la région du Mandèn était appelée « Le Boundou » , où coexistaient des peuples de cultures différentes: la région de Gabù, en actuelle Guinée-Bissau, en était l’épicentre & a essaimé culturellement les pays limitrophes. Les peuples du Boundou se sont métissés aux autres par la confiance & la rencontre avec les autres peuples. La culture mandingue était une des minorités, majoritairement représentée.
Selon Mario Cissoko,
« Dire que le Boundou a une origine Bantou est une erreur de consonance qui renvoie à la classification de la pensée « Tenda » du Haut-Niger (pensée qui classifie en sous-groupe) et qui est en contradiction avec la classification de la pensée Baynuk (ou Baynunk) (Sénégal, Mali, Guinée, Bissau, Libéria, Gambie) qui définit les groupes culturels en fonction de la cohabitation entre les peuples (Tripoli, 2010). Ce qu’on appelle Empire du Mali ou Royaume Manding, était en fait une confédération. Le problème est qu’il n’existe pas encore d’archéologie des langues africaines, qui sont seulement statuées sur la classification du Haut-Niger »
La carte ci-dessous représentes la trentaine de cultures du Manding et celles qui co-existaient à l’intérieur de cette zone et qui n’étaient pas considérées comme étant du Manding, telles quel les Peulhs qui est un peuple nomade originaire de la Corne de l’Afrique (probablement des yéménites ou des Affars, caravanier de sel limitrophe entre l’Ethiopie, Djibouti & l’Érythrée)
La culture Manding dont on parle aujourd’hui, fait essentiellement référence à l’existence de l’ex-Royaume Manding (ou région du Mandèn) qui fut créé au 13ème siècle (1236) par le Roi puis Empereur Sundjata Keita. C’est en conquérant le royaume Sosso (une partie de la Guinée actuelle), et le détenteur du « Sosso balla » nommé Balafasaké Kouyaté (1er balafoniste reconnu dont le balafon est reconnu aujourd’hui comme Patrimoine de l’Humanité situé à Siguiri – ville de Guinée limitrophe avec le Mali), que Sundjata réussira à créer l’Empire Manding. Ce dernier fut composé d’une partie des pays actuels suivants: Sénégal (Sud – Sud Est), Gambie, Casamance, Guinée-Bissau, rep. de Guinée, Mali (Sud – Est), Côte d’Ivoire (Nord), Sierra Léone, Libéria.
A L’origine du Manden, étaient les chasseurs « Dozon » LES DOZON: lien vidéo.
« La Charte du Manden » ou les prémisses des Droits de l’Homme Universel?: lien
Le Griot: place & rôle dans la société du Manding
Loin des cités modernes, résiste un mode de vie et de transmission ancestral: celui des Griots. Jusqu’à l’ère de notre époque moderne, dans la société traditionnelle du Manding, la transmission des chants, des danses, de la musique, des contes, des peintures, des sculptures, et de tout autre art était alors exclusivement réservé au DJELI (ou Griot en dialecte malinké, un des dialectes du Manding). Les familles Diabaté, Kouyaté, Cissoko et leurs dérivés dialectiques représentaient et représentent toujours, cette caste. L’hérédité est de père en fils/fille.
Quelques instruments de musiques utilisés lors des cérémonies.
L’homme et le respect de ses principes naturels de vie sont au centre du fonctionnement de la société Manding. Le griot avait pour principal rôle de « prédicateur, conseiller, philosophe, [ou encore de] pacificateur » (Mario Cissoko), afin de fluidifier les relations entre le Roi, le Gouvernement, & le Peuple. Maître des cérémonies cultuelles et culturelles (mariage, baptême, décès, excision…..), historien, artistes, les griots étaient le liant, le ciment ou encore le « sang » de la société. Agriculteurs, ils avaient le devoir de récolter l’ensemble des vivres du Royaume; en contrepartie, le roi s’assurait de leur couvrir l’ensemble des besoins du quotidien. Leur rôle n’avait pas de but lucratif; bien au contraire, il était humain, voir « spirituel ».
C’est pourquoi, de par ces caractéristiques très particulières, nous pensons que le Griot, son rôle et sa place dans les sociétés traditionnelles sont à défendre et correspondent aux critères du volet HUMAIN de la politique du Développement Durable. En tant qu’expression culturelle préservant la diversité culturelle, la philanthropie et l’épistémologie de la société du Manding peuvent apporter des éléments de réponses pour que les sociétés actuelles vivent de façon plus harmonieuse.
Notre association culturelle et artistique loi 1901 « Traid’Union » promeut, diffuse et organise des projets artistiques et culturels en France, en Afrique et où cela peut se produire, avec comme ambition de soutenir des projets d’Union et de solidarités de types socio-culturels, éducatifs, sanitaires.
Son objectif est de pérenniser les arts de vie humains et de participer activement au 3ème volet, le volet HUMAIN, souvent occulté, du développement durable décrit dans le rapport Brundtland en 1983 et présenté aux Nations Unis.
Aujourd’hui étroitement liées à la culture « Manding » (une région d’Afrique de l’Ouest), nos actions visent à défendre le statut du « JELI » (griot en mandingo et autres dialectes malinkés). Dans le mode de vie ancestral du griot, le lien entre Nature, Agriculture, Culture & Education artistique est assez fort. En effet, le travail du djeli commence dans le champ au rythme de la nature et de ses variations météorologiques, car sa mission était d’assouvir la faim du peuple en contrepartie de terres qui lui étaient allouées et de bétails donnés pour y vivre. Pour se soulager des tensions morales et corporelles, les veillées permettaient de danser sur les rythmes issu du labeur des récoltes et des pêches. Quand il ne s’agissait pas de communier avec la Vie lors des cérémonies ou de communiquer avec le peuple et le Roi. Aussi chaque rythme exprime un moment fort de la vie émanant des activités quotidiennes (agriculture, chasse, pisciculture, cérémonies, guerres ou autre activité forte du quotidien). L’émotion aussi exprimé à travers l’apprentissage artistique a un lien direct avec la Nature de la Terre mère.
Aussi la société dite traditionnelle Manding mettait, & met toujours, l’Homme et ses principes naturels de vie au cœur de son fonctionnement. De part ses actions, le griot est (était) symbolisé comme étant le sang et la mémoire de la société: pacificateur, son rôle est (était) de cimenter les relations sociales pour que les populations puissent vivre en harmonie. Ainsi à travers la musique, la danse, le chant, les contes, la peinture, la sculpture et autre art, ils étaient les dialogueurs entre le peuple et le roi, le roi et son gouvernement, le peuple et le peuple, afin que chacun trouve des solutions dans ses questions de vie du quotidien. Aujourd’hui surtout représentés par des artistes reconnus à travers le monde (Toumani Diabaté, Ba Cissoko, Prince Diabaté….), les griots sont toujours respecter dans les sociétés du Mandé.
Traid’Union France – Guinée oeuvre donc pour préserver le lien entre l’Agriculture, la Culture et l’Education artistique. C’est pourquoi nous développons et soutenons:
des projets au cœur des villages en investissant dans des champs agricoles (Village de Tabato),
la sensibilisation grand public par l’art pour une éducation populaire sur les comportements à adopter pour une vie saine et préventive (Tournées de Théâtre forum),
l’éducation artistique au sein de projets scolaires (formations lettrées pour les artistes, formations artistiques pour les lettrées),
collecte de vêtements et matériel scolaire pour ces acteurs assez démunis.
Contacts
traidunion.diff@gmail.com
Whatsapp: +224 623 11 10 89
France : 07 58 38 25 49
Siège social: 24, avenue de la forêt 06100 NICE
Mentions légales
Objet: Promotion, organisation, diffusion et développement des arts et cultures et de leurs pratiques associées, du local à l’international pour l’entre-aide
Déclaration préfecture des Alpes-Martimesdu 03/05/2013: w062006959
Se libérer de ses douleurs, de ses tensions & se vivre du plus profond de soi sans contrainte, sans mentalisation : c’est ce que vous propose Maude Lamban.
Pour vibrer et vivre son émotion le plus intensément possible source de vitalité, Maude vous invite à lâcher priser dans le mouvement qui naît du quotidien des femmes d’Afrique & à vous recentrer sur des postures de base du quotidien de ces femmes avec qui elle vit depuis plus de 10 ans.
Aux vibrations de la kora sur l’impulse des dum, votre corps dansera au tempo de votre voix que vous serez amené à entonner.
Les mouvements dansés initieront les danses que Malé Swê vous invitera à vivre & des objets du quotidien comme le foulard et le pilon vous seront, éventuellement, proposés pour danser avec…..
L’atelier se finira par une chorégraphie en danse contemporaine & un atelier d’improvisation…
Vous n’êtes plus ici, vous n’êtes plus là bas, vous n’êtes plus ailleurs : vous êtes en vous !
Osez vous, lâchez vous!
DANSES CULTURELLE MANDINGUES TRADI-MODERNES avec Mâlé Swé :
Danseur, chorégraphe, musicien, acteur et directeur artistique de la troupe tradimoderne « Fatala« , Malé Swên’a qu’une seule ambition,une seule préoccupation : vous libérez et vous donner l’envie de vous aimer en vous partageant sa culture d’origine: le Manding en général, le Sosso en particulier ! N’est pas Sosso, celui qui n’est pas amoureux de « soi-même » pour une humanité unie et sans frontière! Originaire de Boffa (Guinée), Mâlé Swé vous invitera à vivre ses rythmes culturelle, à les chanter pour entrer dans la danse et faire vibrer votre âme tantôt guerrière, tantôt de séduction pour tout simplement être dans votre joie de vivre.
De ces danses originellement métissées, Malé vous invitera à les vivre sur des pas originaux et vous amènera à puiser votre âme des temps modernes sur des sonorités actuelles pour vous sentir vivre tout simplement….
Parce que la danse est la parole de l’âme, nous n’avons plus rien à dire & tout à vous faire découvrir!
Plus d’info: +33 6 81 87 28 55/ traidunion.diff@gmail.com
PS: Les stagiaires accompagnés d’enfants sont bienvenus si les enfants participent au stage ou – s’ils ne participent pas – s’ils sont gardés par une personne extérieure au stage afin de ne pas perturber le déroulement du stage. Par avance, merci pour votre compréhension!
TOUT NIVEAU – TOUT AGE :
Quelque soit votre niveau (débutant sans expérience accepté), venez découvrir (ou redécouvrir) avec nous, le bien être apporté par les danses mandingues lors de cette journée complètement dingue!
En Afrique, les « vieux » dansent avec les « jeunes », les expérimentés avec les novices: la technicité est à votre expérience, ce que la performance est à votre capacité corporelle. Les expérimentés aimeront aider et donner leur expérience aux novices.
Alors n’hésitez plus et lancez vous dans l’expérience pour vibrer avec nous!
PLATEAU CHENOVE :
Situé dans la région dijonnaise, le Plateau de Chenove est un lieu calme et relaxant. Il vous émerveillera et vous assurera naturellement une vraie relaxation.
Le stage aura lieu au dessus à La Maison du Plateau au dessus de Chenôve village (21300)
Peintures sur Vynil, gravures sur Calebasse, dessins au fusain, autoportraits à l’aquarelle, peintures de paysages, fresques murales, personnages de livres scolaires, banderoles…de simples œuvres aux techniques diverses et variées AC LION est toujours à l’affût de création !
Abdoulaye Conde alias AC LION est artiste peintre autodidacte. Natif de Kissidougou (Guinée Forestière), il est issu d’une famille réputée de griots kora folla (Djelis). Né en 1989, sa mère est Cissoko. AC Lion peut, en un clin d’œil et en direct live, vous réaliser vos enseignes murales, représenter vos photos en tableau, illustrer vos histoires en images ou bien tout simplement créer une inspiration transmise par votre envie. Alors n’hésitez pas à le contacter pour des peintures sur mesures ! Aux multiples techniques (peinture acrylique ou à huile, fusain, gravure..), il utilise aussi de multiples supports: toile, mur, natte traditionnelle, calebasse, vynil….
Artiste engagé et activiste, Abdoulaye a peint en live lors des Théâtres forum organisé par Traid’Union Guinée sur Ebola en 2016 et 2015 pour sensibiliser la population sur les gestes d’urgence à adopter. En ce moment il peint sur le thème de l’immigration clandestine….
1ERE EXPOSITION: LA CULTURE GNABASSAN
En février 2021, au Centre culturel franco-guinéen (CCFG) de Conakry (Guinée), AC LION expose et effectue son 1er vernissage intitulé « La culture Gnabassan » – Culture métissée ou le métissage de nos cultures.
Son message est simple: la Guinée est un pays à lui tout seul métissé par les cultures forestière, maritime, de haute et moyenne Guinée. Plus de 50 cultures composent le pays. Son existence insuffle l’Union des peuples: sans cette union le pays nation en tant que tel ne peut exister. A la sortie de remous socio-politiques qu’a connu le peuple guinéen depuis 2013, AC Lion nous fait voir comment la Guinée est une famille. Comment la force guinéenne est cette volonté de préserver l’âme de la famille: chacun avec son identité originelle s’inspire de l’influence de l’autre et s’en colorie tout en restant soi. Que cette force a permis à cette nation, malgré tout, de rester stable, au delà des dictatures, des régimes militaires ou bien des révoltes populaires. Que cette force a permis à la Guinée de rester une, sans qu’une culture en particulier domine une autre: chacune existe et résiste par l’originalité de sa force intrinsèque.
« Biologiquement nous nous transmettons et donc devenons un pe la couleur de son prochain….mais nous restons nous mêmes avec nos cultures
« Ces peaux multicolores ont un fort message: celui que biologiquement nous nous transmettons et donc devenons un peu l couleur de son prochain. Les pores de notre peau sont tels des canaux de transmission….mais que nous restons nous mêmes avec nos cultures, notre identité, notre personnalité »
Abdoulaye travaille aujourd’hui en collectif d’artistes peintre et musiciens au Studio « Univers’Art » à Taouyah (Conakry), où des cours de peintures et de musiques (kora, guitare) sont possible en collectif ou en individuel :