SPECTACLE SUR LES CONTES ET LEGENDES DE GUINEE (avec chants, danses, musiques)
1ère jouée le vendredi 27 septembre 2019 – 20h30 à la Crau
au profit de l’association D’Keng Taoré
Mis en scène et chorégraphié par
Lamine Camara dit Malé Swê & Maude Lamban
Une femme troglodyte qui a le génie de transmettre la création de la kora lors d’un rêve à un griot…….des tambours qui pulsent le cœur de Guerriers de Vie pour gagner le combat de leur humanité….des Rois alchimistes d’âmes qui jouent avec les caractères de leurs prochains pour que plus aucune guerre n’existe…
Sur des mélodies ancestrales des cultures mandingo, malinké, sosso, baga issues de l’actuelle Guinée (Afrique l’Ouest), la compagnie « Sabou » vous contera en danse et en musique les légendes du Manding, légendes qui jusqu’à ce jour et depuis 5 siècles, continuent de pérenniser la transmission de leurs valeurs humaines de Père en fils, de Mère en fille, grâce à leur Histoire artistique et qui reste peut être au fond le secret de leur fierté culturelle et de leur identité personnelle….L’Oralité n’aurait-elle pas des vertus que l’Écrit ignore toujours ?
Photos de Tatiana Bonfils. Liens vers la galerie photo: cliquez!
Pour sa 1ère représentation la compagnie « Sabou » fut composée :
de 3 danseurs et acrobates:Mohamed Camara dit Yoro (Danseur acrobate – Guinée), Otto Camara (Danseur acrobate – Guinée), Maude Lamban (Danse – France)
d’un conteur : Mohamed Sylla (Guinée)
d’une chanteuse: Mamaaïssata Sylla (Guinée)
Ces artistes aux origines hétéroclites sont unis sur le même amour : celui des cultures du Manding et plus largement des cultures africaines.
Fiche technique:
4 micros voix avec pied
2 micros voix sans pied
1 sortie jack sur sonorisation ou ampli de basse
1 rétroprojecteur avec écran blanc
Durée: 1h15mn
C’ETAIT LE VENDREDI 27 SEPTEMBRE 2019….
Pour sa 1ère représentation, les recettes de ce spectacle furent au profit de la scolarisation de jeunes villageois burkinabés, projet soutenu et coordonné par l’association varoise « D’Keng Taoré », une manière de lutter indirectement au fléau de l’immigration clandestine d’Afrique :
Le projet de l’association D’KENG TAORE est de soutenir la scolarisation de 50 jeunes démunis du village de Boala au Burkina Faso à partir de la 6e pour qu’ils aient un métier et donc un avenir dans leur pays. Des familles françaises parrainent chacun de ses jeunes pour financer les frais de scolarité et l’association intervient grâce aux spectacles, vide greniers…. pour leur fournir des annales, dictionnaires, cantine, frais d’inscription aux universités, frais d’inscription aux concours administratifs. S’ils réussissent ces concours, l’Etat prend en charge leur formation et ainsi ces jeunes peuvent prétendre à une vie digne de ce nom !En faisant un don, vous offrez une chance de plus à ces jeunes d’avoir un avenir dans leur pays. »
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Pour tout connaître sur la légende de la kora et de son incroyable création par la fameuse femme génie, nous vous invitons à cliquer sur le lien suivant:
Thérèse dit « Maaté » Keita est une artiste avérée et complète. Son père spirituel, l’ ex-Directeur artistique de l’Ensemble des « Koteba » d’Abidjan, Souleymane Koly, l’a fait grandir et murir à travers ces disciplines artistiques pendant 33 ans. Les Go de Kotéba révéla Maaté en tant qu’artiste pluridisciplinaire (chant, danse, musique). Son dernier titre « Baba Solo », produit en 2015 auprès du label « Tinkisso Record' » (Guinée Conakry) rend hommage au Feu Souleymane Koly.
Mais ce qui caractérise Maaté n’est pas tant son professionalisme que sa quête de véhiculer de l’émotion et de la partager au prix d’une humanité toujours plus grande.
« C’était tellement émouvant de voir tous ces visages rayonnants » Fatima NAJJAR – Coordinatrice « Concern Universal » Guinée
Le théâtre forum « Mieux Vaut Prévenir Que Guérir »a eu pour finalité d’expliquer aux populations reculées de Forécariah comment se prévenir pour éviter les maladies contagieuses à risques épidémiques telles que le choléra, la fièvre typhoïde, le virus Ebola, …..78 artistes, 34 dates, près de 20.000 personnes sensibilisées – du 22 mai au 05 juin 2016.
Une joie incroyable! Merci aux artistes:
– la troupe « Fatala » & Lamine Malé Camara,
– « Les Aigles du Manding »,
– « Association Uni Art Culture » & Lamine Diabaté,
– Maaté Keita,
– les formidables tourneurs Souleymane Dioumessy et Lama Diallo dit « Lama Reggae »
– USAID & toute l’équipe de Concern Universal – ACF.
– AC Décor & Abdoulaye Conde pour les 204 banderoles en 3 semaines……
dans un village reculé de Guinée, deux villageoises voient leur maris partir aux champs et à la chasse sans moyens de précaution. De retour à la maison, les hommes vomissent et ont une diarrhée sévère…….que faire?
Scénario danse:
dans un village reculé de Guinée, un jeune homme courtise deux jeunes femmes. Mais il tombe malade et les deux jeunes filles se retrouvent elles aussi contaminées. Face à cette situation, le chef de leur village intervient sur les mesures d’hygiènes et de propreté à adopter pour vivre dans un environnement sain et serein.
L e Kampony Club est un groupe de jeunes musiciens guinéens basé à Conakry. Il tire son nom du village de Kampony situé au nord-ouest du pays, berceau d’une partie de la famille Kouyaté dont le talent est reconnu depuis des siècles par delà les frontières du pays.
Composé de Karamba, Bambo, Dembo, Bouba, Guèmè & Rasta, tous KOUYATé, ces éminents artistes conteurs et poètes, descendants d’une des plus anciennes lignées de griots, se produisent régulièrement sur les scènes du monde entier, que ce soit en Afrique, en Europe, en Asie, en Amérique du Nord et du Sud. Parmi les grandes figures que ce village a vu naître, on pourra citer notamment Feu Elaj Mamadou Benté Kouyaté, Moh Kouyaté, Adama Kouyaté, plus récemment Petit Kandia.
Le jeune Kampony Club s’exprime lui par un exquis mélange d’instruments traditionnels et modernes.Il se plait en effet à mêler balafon et batterie, guitare acoustique et électrique, guitare basse et calebasse, djembé et clavier, ngoni et shaker brésilien… et tout autre instrument qui lui passe sous la main ! (le ngoni est une forme de luth traditionnel ayant jusqu’à huit cordes) Le chant est assuré dans diverses langues nationales guinéennes, telles que le diakhanké, le soussou, le malinké et le peulh. Depuis quelques mois, Pierre Pinat, français rebaptisé Guèmè Kouyaté, amoureux de l’Afrique de l’ouest et de ses cultures, les a rejoint avec son shaker et participe à ce projet musical en apportant aux chants une touche de français, d’anglais et d’espagnol.
LeGros Killah Mic, vous le connaissez ? En Occident & en Orient, certainement pas, en Afrique, p’être bien, en Guinée, bien sûr que oui avec les « Black Never Die » qui sont « Still Alive » mais sans LKM, pour son nom de scène!
« Mais c’est une pure invention venant d’occident, encore ça! » « Ca n’existe pas » « Dans 60 jours, c’est bientôt fini! «
« Lavez-vous les mains au savon » « Soyez propre »
« Mais pourquoi ne voit-on plus nos proches malades une fois entrés dans un Centre de Traitement pour Ebola, même pas ses vêtements?! »
Un extrait?
D’où vient Ebola? Comment est-il arrivé à semer la pagaye parmi les hommes, leurs cultures, leurs croyances et leurs rituels? Comment a-t-il réussi à mettre en péril des pays à économies déjà si précaires sans lui?
Selon le scénario original d’Oumar Manet, « Le Procès d’Ebola » personnifie le virus, lors de sa mise aux assisses: tant bien que mal, il essaie d’expliquer en quoi « son business » est bénéfique pour la république de Guinée; mais sans avocat et devant des milliers de victimes, son plaidoyer est dur à être entendu en toute impunité…..
Orchestrés par les musiciens de l’association « Kora Folla » & le groupe « Les Aigles du Mandingue », la troupe nationale « Benso Sodia » joue la comédie en compagnie de « Lafsi danse »
Ce projet socio-éducatif, culturel & solidaire a pour objectif de sensibiliser les populations vulnérables et exposées à la fièvre hémorragique à virus Ebola, des quartiers de Conakry (Ratoma, Matoto, Matam).